Les bancs français

De Brassens à Vianney nous sommes français
Nous pensons et mettons des rimes sur nos mots
Nous les faisons chanter pour panser nos maux
Il y a de la passion dans ses notes qui s’envolent
Nos âmes et nos cœurs s’ouvrent avant qu’ils ne s’étiolent

Nous ne sommes pas tous Verlaine ou Victor Hugo
Mais nos joies et nos peines s’échappent au bout de nos stylos
Ce qui brûle en nous doit sortir en chanson
Peuple de l’amour, des profondeurs et de la réflexion

Oui elle vit encore cette chanson française
Elle parle pour nous mieux que la marseillaise
Comme Notre Dame, la Tour Eiffel ou Versailles édifiés
Toutes ces chansons construisent un bout de notre identité